Le tribunal administratif de Strasbourg confirme l'assignation à résidence de la famille Hodza

Nouvelle déception après la confirmation par le Tribunal Administratif de Strasbourg de l'assignation à résidence de la famille Hodza, ce lundi 18 février 2013.

La menace de plus en plus forte d'une expulsion imminente confirme que la famille Hodza a besoin de notre soutien à tous!
Pour ce faire, signez la nouvelle pétition en ligne pour demander à M. le Préfet du Bas-Rhin de reconsidérer leur cas et n'hésitez pas à en transférer l'adresse à vos amis. Déjà plus de 200 signataires en 2 jours!
N'oubliez pas de cliquer sur le mail qu'ils vous enverront pour confirmer votre signature.
http://www.petitionpublique.fr/?pi=Hodza
 
On en parle au JT du 18/02/2013 de France 3:

Ainsi que dans les DNA: http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2013/02/18/famille-hodza-la-deception

Résumé de l'audience par "la feuille de chou":

"Le comité de soutien à la famille Hodza a rassemblé une cinquantaine de personnes avenue de la Paix dès 14h pour appuyer la famille Hodza dans son recours contre la mesure préfectorale du 14 février les assignant à résidence avec un contrôle policier trois fois par semaine."

 

Crédit photo: la feuille de chou

"Des amis, des parents d’élèves de l’école des deux enfants à Schiltigheim, des élus en nombre, dont le premier adjoint au maire, Yves Bourgarel, Mme Dambach ceints de leur écharpe tricolore, Eric Schultz, conseiller municipal de Strasbourg."

 Crédit photo: la feuille de chou 

"Le directeur de l’école qui scolarise les enfants réussissant parfaitement et aussi intégrés dans la vie locale que leurs parents, avait tenu à être présent, ainsi que des parents d’élèves et des enseignants.

Rien n’y a fait. La décision est tombée rapidement, confirmant la mesure préfectorale d’assignation à résidence. Cependant, l’espoir d’une issue favorable reste entier, malgré la tristesse qui se lisait sur les visages de la famille et du comité de soutien à la sortie.
Rappelons que le TA ne juge que sur la forme, vérifiant que l’arrêté préfectoral est conforme. La famille a un mois pour faire un appel, non suspensif de l’assignation à résidence et de l’expulsion qui devient possible à n’importe quel moment."